Le “coup de blues” de Valérie Trierweiler : qui est celui qui l’a accompagnée pendant son hospitalisation ?

Il y a 6 ans, Closer révélait la liaison de François Hollande avec Julie Gayet. Un coup dur pour Valérie Trierweiler, au point d’être hospitalisée quelques jours à la Pitié Salpêtrière. Qui est l’homme qui s’est occupé d’elle dans ce moment particulièrement difficile ?

Le 9 janvier 2014, le couple de Valérie Trierweiler a volé en éclats. Le magazine Closer révélait la liaison du Président français, François Hollande avec l’actrice Julie Gayet. C’était il y a 6 ans, et cet événement a conduit l’ex Première dame à l’hôpital. Dans la tornade médiatique et amoureuse que la journaliste de 48 ans a vécu ce jour-là, un homme a joué un rôle clef : qui est celui qui l’a accompagnée pendant son hospitalisation ?

A la suite des photos publiées, l’hôpital de la Pitié Salpêtrière accueille Valérie Trierweiler dans son service neurologie pour quelques jours de repos nécessaires. L’accès à sa chambre est interdit par les médecins. La personne qui lui a permis cette hospitalisation, c’est Olivier Lyon-Caen. Le neurologue, à l’époque chef de ce service, aurait été appelé de bonne heure à l’Elysée pour venir chercher Valérie qui n’allait pas bien. Discrètement, il l’a exfiltrée jusqu’à son établissement pour qu’elle s’y repose.

Des liens étroits avec l’Elysée

Cet homme n’est pas qu’un médecin venu secourir l’ex Première dame, il est aussi à l’époque le conseiller santé et recherche médicale de François Hollande. Son travail n’est pas l’unique lien avec l’Elysée, son histoire personnelle est aussi connectée au palais, et ce depuis plusieurs années. Le professeur Olivier Lyon-Caen est le mari de Jacqueline Chabridon, qui plusieurs années avant leur union a été la maîtresse de Jacques Chirac.

Leur liaison se déroule entre 1975 et 1976 et l’homme n’occupe pas encore sa fonction de président. Il a donc été mêlé, de près ou de loin, à plusieurs reprises, aux tumultes amoureux de la présidence française. Par ailleurs, un autre lien réunit les deux hommes : Olivier Lyon-Caen soigne Chirac jusqu’à son décès en octobre 2019. C’est lui qui a signé le rapport médical, datant de 2011, faisant état du diagnostic « d’anosognosie » (trouble psychologique qui empêche le malade d’avoir conscience de sa condition). A cette époque, il est accusé dans l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris.

Par ailleurs, l’épouse du professeur Jacqueline Chabridon avait fait une remarque à Valérie Trierweiler pour la mettre en garde sur une rumeur. Un an avant l’annonce de Closer, elle lui avait parlé de la liaison entre François Hollande et Julie Gayet.

Crédits photos : BBC via Bestimage

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